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DTM Race Driver 3 (Toca)
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  Note générale
GamesUP.ch
9/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
 
Sur Ordinateur - PlayStation 2 - X-Box

Les

+

> La diversité des compétions
> La plupart des licences officielles
> La conduite ultra réaliste
> La bande-son irréprochable
> Durée de vie magistrale
> Le mode carrière par étape
 

Les

> Graphiquement peut mieux faire

Les simulations de course automobile de qualité ne court pas les rues sur nos chères consoles de salon. Codemasters, pour le plus grand bonheur des fans de moteurs rugissants, nous propose d’enfiler une combinaison de pilote et de se lancer dans une carrière inattendue.

Hommage à la mécanique

La série des DTM (Toca pour les intimes) est considérée par beaucoup de fan comme étant le summum de la simulation de conduite. Mélange subtil des genres, DTM Race Driver 3, non content de nous proposer des courses automobiles de type grand tourisme, propose un étalage de compétition qui ose aller encore plus loin. Reprenant la philosophie de son prédécesseur, le choix des compétitions est énorme. On retrouve des courses de GT, de kart, de Rallye, de Big Foot, de F1, de camion et pas mal d’autre encore. Cela qui risque de déstabiliser pas mal de monde, car la conduite de chaque type de véhicule ne s’opère pas de la même façon. Dans le mode carrière pro, le choix des compétitions se réalise par thématiques. On commence par le kart par exemple, en passant par la F3 pour terminer par la formule 1. Le but étant de gravir les échelons par étape, l’un après l’autre et de se faire une place de champion au soleil.

L’art du pilotage

Une simulation sans la conduite et les dégâts qui vont avec ne ressemblerait à pas grand-chose. De base dans les options de pilotage du jeu, les cases bacs à sable, pilotage et dégât sont désactivé par défaut sur off. La différence ensuite est monstrueuse ! La moindre faute de conduite, et on est bon pour l’abandon. Tout est plus « puissant ». Premier constat, l’intelligence artificielle est déjà plus poussée, les adversaires sont plus vigoureux, certaines courses peuvent en compter jusqu’à vingt. Ces derniers ne laissent rien passé en attaquant méchamment le moindre écart de conduite. Si on arrive dans un bac à sable, votre engin motorisé ne risque plus de pouvoir en sortir. Les collisions entre concurrent sont plus pénalisantes encore. Le moindre dégât, et rouler devient vite très difficile, surtout si le bolide à les essieux courbés. En normal, mordre les bas coté des circuits ne porte pas spécialement de préjudices. En mode expert, c’est vite un synonyme de tête à queue. Conduire dangereusement n’apporte rien, si ce n’est de se prendre des pénalités et des arrêts aux stands obligatoires. Les développeur on encore poussé le vis plus loin, en incluant également dans les options, la possibilité de choisir un embrayage pour passer les vitesses. Cela apporte pas mal de nouvelles sensations, presque réaliste. Attention de ne pas casser sa boîte à vitesse. Pour progresser dans le soft, tout dépend du mode « Tour Mondial ». Ce dernier permet de débloquer les épreuves. Divisé en huit parties distinctes, le championnat permet de goûter à pleins de styles de conduites différentes sur 120 compétions différentes.

Belle mécanique

Techniquement, le jeu en jette pas mal, La modélisation des véhicules est parfaitement exécutée. La gestion de 20 adversaires et des déformations de carrosserie, demande de la ressource et cela ce sent sur l’affichage de nos consoles, qui sont pourtant capables de produire des choses plus aboutie graphiquement. Ce n’est pas le nirvana mais l’ensemble reste plutôt correct. L’impression de vitesse et l’animation sont jubilatoires, aucuns ralentissements ne viennent perturber le plaisir de concourir. La maniabilité est impeccable est offre une approche quasi réaliste. Niveau son, DTM comme à son accoutumé mais les petits plats dans les grand plats, très poussé. Les bruits de moteur et de chaque bolide sont restitués au plus proche de leur modèle physique réel. Du très grand art ! La durée de vie est hallucinante et même après des jours et des jours de compétitions acharnées, le mode multijoueur et online vient conclure avec brio cette simulation de conduite fantastique. DTM Race Driver 3 est la meilleure simulation de conduite du moment !

par Evil

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> Note finale 9/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Simulation
Age: dès 12 ans
Nombre de joueurs: 1 à 2
Online: Oui
Editeur: Codemasters
Site officiel: http://www.codemasters.fr/tocaracedriver3
Développeur: Codemasters
> PAROLE DU RÉDACTEUR