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Prince of Persia Rival Swords
  PHOTOS
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
7.5/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
PlayStation Portable
Sur PlayStation Portable

Les

+

> Les graphismes bien transposés
> L’histoire
> Le dédoublement de personnalité du prince
> Remonter le temps
> Les phases d’action/plates-formes
> La bande-son
> Mode furtif
> Les courses de chars
 

Les

> L’animation
> La difficulté par moment
> Les chutes de frame Rate
> Maniabilité pas toujours évidente
> Temps de chargement

Le prince de Perse s’invite à nouveau sur l’écran large de la PSP, après un épisode « Revelations » en demi-teinte, dans une adaptation réussie des deux royaumes, qui était jadis sorti sur les bonnes vieilles consoles 128 bits. Cette fois-ci, Ubisoft propose de revivre le meilleur épisode de la série en l’enrichissant de courses de chars supplémentaires, ainsi que d’un mode courses en multijoueur. Prince of Persia ouvre la voie à un genre encore peut exploité par le jeu vidéo, la dualité psychologique de la personnalité de son héros principales.

Dual Sword

L’histoire se situe juste après la fin de POP Revelations. Notre héros revient à Babylone avec la très provocante impératrice du temps Kaileena. Mais à leur grande surprise la ville est ravagée par la guerre. Traqué comme le seul héritier au trône d’Iran (La perse), le beau ténébreux suite aux contacts prolongés avec les sables du temps va donner naissance à son double maléfique, le prince noir. Le moins que l’on puisse dire c’est que notre héros possède une panoplie de mouvements et d’enchaînements conséquents. Les phases d’action sont pour le moins la cerise sur le gâteau. Tel un chat enragé, notre ami bondit dans tous les sens et frappe avec la précision d’un ninja possédé par l’esprit du vent. Les combos disponibles permettent de varier les attaques sur plusieurs niveaux d’enchaînements différents. Le prince se la joue aussi par moment à la Sam Fisher (Splinter Cell).  Ce dernier peut surprendre ses ennemis par derrière, en leur portant un coup fatal tel un faucon qui bondit sur sa proie. Une autre faculté de notre cher héros, consiste au moment critique, à utiliser les pouvoirs de son double noir, qui est armé d'une sorte de fouet bardé d’épines et qui est encré dans la chair de son bras gauche. Ce dernier permet des attaques inédites jamais encore vues dans un jeu vidéo en balançant des combinaisons nerveuses et impressionnantes.

Retour vers le futur

Notre persan peut également quand tout semble perdu, faire appel à la puissance des sables du temps. En remontant le temps de quelques secondes, le prince peut à tous moments revenir à l’endroit précis ou il était tombé juste avant de mourir. Un effet très pratique lors d’une mort stupide due à une chute qui l’est toute autant. Le mode aventure nous fait rencontrer des tas d’ennemis plus au moins compliqués à vaincre. Même si les ¾ du temps il s’agis de simples soldats. Mais le jeu ne se limite pas uniquement à eux seuls. On y retrouve également, des démons des sables, qui ont la forme d'un chien sauvage, ou encore des boss énormes, comme le fameux géant des arènes de Babylone. Celui-ci est de loin l’un des monstres les plus étonnants et difficiles à défaire. Pour les amateurs de course de chars extrêmes à la Ben Hur, le titre en propose tout du long. La belle et plantureuse farah, viendra également donner un petit coup de main avec son arc et ses flèches à notre monarque déchu.

Agence de voyage

La maniabilité a été complètement rééquilibrée, pour correspondre le mieux à l’ergonomie de la portable de Sony. Les développeurs ont parfaitement suent marié les phases d’action et de plates-formes, de la plus belle façon possible. Le moins que l’on puisse dire c’est que techniquement s’est magnifique, malgré les amputations subies à cause de la puissance de la PSP. Les environnements retranscrivent parfaitement l’atmosphère « mille et une nuit ». L’architecture orientale se ressent jusque dans la bande-son qui raisonne de thèmes ébouriffants, un poil trop discrète. Les doublages français sont le nerf de la guerre, et servent et donner du rythme à l’avancement de la trame. Le point le moins bien rendu malheureusement, c'est l’animation, qui souffre d'un manque de naturel et de fluidité avec des chutes de « frame rate » impressionnables. Bref pour conclure le titre d’Ubisoft Montréal propose un challenge relevé, garni d’une histoire envoûtante. De quel coté le prince va-t-il tomber ? Une quinzaine d’heures seront nécessaire pour le savoir. Rival Swords, s’imposent tout naturellement comme le meilleur titre du moment  sur la petite portable de Sony.

Testé sur PlayStation Portable par Evil

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> Graphisme 0/10    
 
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> Violence 0/10    
 
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> Jouabilité 8/10    
 
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> Bande-son 6/10    
 
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> Durée de vie 8/10    
 
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> Scénario 8/10    
 
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> Note finale 7.5/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Action / Aventure
Age: dès 16 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Oui
Editeur: Ubisoft
Site officiel: http://www.ubisoft.fr
Développeur: Ubisoft
> PAROLE DU RÉDACTEUR