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Burnout Dominator
  PHOTOS
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
8/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
 
Sur PlayStation 2 - PlayStation Portable

Les

+

> Graphiquement réussi.
> 7 catégories de voitures.
> 13 Niveaux par catégorie.
> Les défis secondaires.
> La durée de vie.
> Retour aux sources du Burnout.
> Les Takedowns sont toujours présents.
> Nouveau mode de jeu "Déjanté".
> Alice In Chains comme fond musical !
 

Les

> Les circuits se ressemblent tous.
> La difficulté de certains niveaux.
> Le mode Crash a disparu.
> Pas de mode On-Line.
> Avril Lavigne en fond sonore.

Situé à mi-chemin entre Burnout Revenge et Burnout 5 qui sortira sur Next-Gen, ce petit dernier de la saga Burnout se permet une rétrospective de ses grands frère pour le plaisir de (presque) tous !

Souvenez-vous, la saga commença en 2001 avec un titre qui fit fureur. Le principe assez simpliste de débouler à vive allure dans le trafic tout en évitant le massacre encra alors Burnout dans les jeux à posséder de toute urgence. S ?en est suivi une pléthore de petits frère ayant subi un nombre variable de modifications plus ou moins marquantes. Le tournant fut donné à l’arrivée de Burnout Takedown où la clef de voûte résidait dans la destruction des adversaires, exit d’une conduite précise car il était possible de bousculer les voitures roulant dans le même sens que vous.

Maintenant que l’on a remis les pendules à l’heure, on peut s’attaquer à ce nouveau petit « opus symbolique ». Tout d’abord, force est de constater que les graphismes n’ont pas bougé d’un cheveu. On reconnaît au premier coup d’œil la griffe de Criterion grâce aux menus, voitures et tracés. Cependant, ces derniers sont peu différents entre eux contrairement à l’épisode précédent. Ce manque de charisme est assez déroutant car il devient alors très difficile de poser de repères pour le conducteur. Une plus grande dose de patience sera donc nécessaire. De plus, la progression du joueur se fait de manière plus précise et plus linéaire. En effet, Burnout dominator s’est permis une classification des niveaux selon la catégorie de voitures que vous pourrez utiliser. Ces sept catégories (qui sont « Classique, Unsique, Tuning, Hot Rod, Super, Course et Dominator) renferment chaque une treize épreuves. Ce qui donne assez de kilomètre à parcourir avant la fin du tunnel. De plus, certains stages sont tellement difficiles qu'il vous faudra vous armer d'une patience surnaturelle pour aller chercher l'or !

Les modes de jeux sont assez semblable à ce que l’on pouvait précédemment trouvé dans les opus antérieurs. Les modes courses, Tour Boosté, Road Rage et Eliminateur sont bien sûr toujours présent, mais accompagné d’un tout nouveau mode appelé « Déjanté » où le but est de marqué des points calculés en fonction de votre agressivité sur la route ou en effectuant une action bien précise comme esquiver, déraper ou rouler à contresens, histoire de renouer avec l’aspect technique et fin que nous avons gentiment laissé tombé il y a de ça environ quatre ans jusqu’à la sortie de Burnout 3 De plus, certains défis supplémentaires viendront s’ajouter de temps à autre au fil du jeu vous permettant de remporter de nouveaux bolides et de nouveaux circuits ce qui met un peu de piment dans la soupe. On se retrouve parfois à devoir finir premier tout en effectuant plus de 1'000 mètres de dérapage durant la course ou alors envoyer un adversaire précis dans le décor pour gagner sa voiture. Cependant la surprise est de taille puisque le mode Crash à tout simplement été enlevé ! On se demande ce qui a bien pu passer dans la tête des développeurs pour oser une chose pareille. L’un des rares défouloir du monde vidéo ludique oublié et retiré sans aucun avertissement, tout comme le mode On-line qui était ma foi fort intéressant. La durée de vie du soft en prends alors un gros coup vu qu'elle s'ampute d'un mode destructeur et jouissif. C’est dur

On se retrouve alors avec un jeu recentré exclusivement sur la course. Une course ne comportant que très peu de différences par rapport à Burnout Revenge puisqu’il se base sur deux choses. La première est que le Boost que vous récoltez ne se rempli et ne se multiplie plus au fil des takedowns. Plus vous conduisez de manière agressive et plus votre jauge se rempli. Une fois celle-ci pleine, votre boost arrive alors en surcharge et vous permettra lancer une accélération spéciale. Lorsque la flamme est bleue, le conducteur devra alors laissé le bouton de boost appuyé et conduire le plus agressivement possible. Si ces deux conditions sont respectés, le conducteur entame alors un Burnout, votre jauge de boost est à nouveau remplie au max et vous disposerez alors d’un temps d’accélération supplémentaire. Le St Graal de cet opus réside alors dans l’enchaînement de ces dits Burnouts.
Autre changement notoire, le trafic est devenu rigide comme de la pierre. Il n’est malheureusement plus possible de bousculer les voitures roulant dans le même sens, ce qui pourra provoquer une grande dose de frustration pour les habitués de Burnout Revenge et réjouir les vieux de la vieille ! La conduite devient alors une affaire beaucoup plus précise et soignée et le nombre de crash est subitement augmenté. On aime ou on n’aime pas, et c’est le problème d’un jeu qui a jusqu’à présent su surfer sur la vague de ces deux polarités opposées.
On comprend alors très rapidement que ces changements, peu en nombre au premier abord, sont d’une telle importance que l’on se doit à nouveau de passer par une phase d’adaptation et revenir aux sources de ce qu’était Burnout autrefois. On notera malgré tout que toute la série de Takedowns possibles sont toujours là et permettent bien entendu de faire augmenter notre barre de boost de manière colossale. Le tout accompagné d’une playlist qui comme d’habitude affiche d’excellente petite perles comme Alice In Chains ou N*E*R*D, plus rock, moins électro et beaucoup plus calme que pour son grand frère Burnout Revenge bien que l’on trouve certains morceaux très agréable en temps de course de par leur côté un peu plus dynamiques. On citera Bz, LCD Soundsystem ou encore Shadow Falls qui nous offrent des tracks qui déchirent les bas de caisse. De plus, certains morceaux de Burnout Revenge refont apparition dans les menus, histoire de vous faire comprendre que la trajectoire n’a pas changé d’un iota ! On reçoit par contre une claque monstrueuse lorsque l’on tombe pour la première fois sur le tout dernier titre d’une artiste mondialement connue, j’ai nommé Avril Lavigne. En effet la belle canadienne à su s’offrir sa chanson dans le jeu et ce en quatre langues différentes (Englais, espagnol, mandarin et japonais). Je savais que Criterion faisait dans l’original, mais là, on touche légèrement le fond. Il ne manque plus que la petite peluche pendouillant au rétroviseur et là, c’est avec plaisir que je froisserai ma tôle contre le mur le plus proche.

par x-trend

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> Graphisme 0/10    
 
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> Violence 0/10    
 
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> Jouabilité 8/10    
 
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> Bande-son 8/10    
 
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> Durée de vie 6/10    
 
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> Scénario 0/10    
 
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> Note finale 8/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Course
Age: dès 3 ans
Nombre de joueurs: 1 à 2
Online: Non
Editeur: Electronic Arts
Site officiel: http://burnout.ea.com/
Développeur: Criterion Studios
> PAROLE DU RÉDACTEUR