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Kingdom Heart II
  PHOTOS
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
9/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
PlayStation 2
Sur PlayStation 2

Les

+

> Graphismes Mignons
> Bande-son
> Cinématiques
> Scénario bien tordu
> Maniabilité
> Un, deux, trois, Mickey Donald et Moi
> Les références nombreuses
> Durée de vie
> Les mini-jeux
 

Les

> Prologue de quatre heure !
> Les scintillements et l’aliasing
> Trop de blabla
> Ergonomie des menus en pleins combats

Après plus de quatre ans d’absence, la suite temps attendue de Kingdom Heart nous entraîne une nouvelle fois dans les mondes imaginaires de Walt Disney et de Square Enix. Mélangeant subtilement les deux univers, cette aventure nous mène conquérir des nouveaux mondes afin de les libérer des forces obscures qui tentent de les pervertir.

En avant pour le pays des rêves

Sora, Donald et Dingo vont devoir faire fasse encore aux « Sans-Cœur » dans cet action RPG qui va vous faire rencontrer plus d’une centaine de personnage Disney, sans compter les invités vedettes surprises. L’histoire reprend là ou elle c’est arrêtée. Mais les événements vont commencer d’une façon totalement différente de ce que vous pouvez imaginer. En effet, le début est un énorme prologue de plus de 4 heures qui vous accueil. Autant vous dire, qu’il vous faudra de la patience pour ne pas renoncer à découvrir la trame sophistiquée de ce petit bijou vidéo-ludique. Le scénario débute donc sur un personnage inattendu du nom de Roxas. Notre ami passe des vacances d’été paisibles en compagnie de sa bande de copain. Les événements vont vite commencer à se déclancher, sous la forme de petit flashback et par la suite par des affrontements directs avec l’organisation XIII, vos ennemis principaux ! Tous ça pour vous dire que tout cela sert juste de mise en bouche avant de partir sérieusement à la conquête des royaumes.

Aux pays des merveilles

La carte du monde se compose de tas de petites îles flottantes suspendues dans une dimension spatiale. Le seul moyen de rejoindre l’une ou l’autre est de se déplacer à l’aide d’un vaisseau du nom de Gummi. Mais avant de pouvoir accoster sur l’une d’entres-elles, il vous faut affronter des petites épreuves qui servent de barrière d' accès. Mélange de course et de shoot, ces joutes servent plus de remplissage qu’à faire avancer l’histoire. Ce n’est pas vraiment le garage qui va vous permettre de customiser votre engin qui va vraiment vous laissez collé devant votre écran. Quoi que d’avoir Tic & Tac comme chauffeurs et mécanos...sa peut être drôle.
Chaque île représente un dessin animé, de « La belle et la bête » en passant par « le Roi Lion » et « Mulan » pour ne citer qu’eux, vos missions consistent à modifier le cours des histoires originales pour empêcher les forces obscures de transformer ces univers en ténèbre.

Très à cœur

Le système de jeu rappelle furieusement le fabuleux Zelda : Ocarina of Time de Nintendo dans son approche des combats. Ceux-ci se déroulent librement, tout comme les déplacements avec la possibilité de « locker » la cible de son choix.  Bien que l’on retrouve les préceptes de bases de Final Fantasy pour ce qui est des menus et du travail en équipe de trois héros et de l’utilisation des magies. Les actions de vos compagnons sont automatiques. Aucune raison alors de ne pas enchaîner les combos dévastateurs sur vos adversaires tout comme dans un Devil May Cry. Votre Keyblade, Disney oblige, ne possède pas d’apparence dévastatrice et tranchante, juste une grosse clé qui vous sert de glaive. Pour donner plus d’impact à vos actions une deuxième arme peut être invoquée lorsque votre jauge de furie est pleine, et cela en faisant appel à votre ami Dingo qui viendra fusionner avec vous. Autant dire que vous allez faire le ménage très rapidement. Pour renforcer encore plus le dynamisme des affrontements, lorsque les boss apparaissent, à l’image d’un God of War, Sora peut exécuter si vous parvenez à rentrez la touche « Triangle » au bon moment une série de séquence d’attaques dévastatrices pour anéantir plus rapidement les gros méchants. Ce n’est pas du luxe qu’en vous savez que certains d’entres eux mesurent pas loin de 50 mètres de haut !!! Bon tout de même, si il vous arrive malheurs à vous et à votre équipe le roi Mickey en personne, viendra comme Zorro vous donnez un petit coup de main histoire de reprendre les choses en mains par la suite.

La PS2 tient bon !

Quand vous voyez le titre tourner pour la première fois vous vous dites qu’avec ces belles couleurs chatoyantes et ces graphismes tous mignons, tout est fait pour vous plongez d’entrer de jeu dans l’aventure, et bien vous avez raison. Chaque environnement s’inspire directement des univers Disney/Square Enix, en y ajoutant une touche plus enfantine. Les textures sont simplistes dans leurs détails et les personnages sont fidèlement reproduits. Reconnaître chacun ne pose donc aucun problème.  D’ailleurs pour dire que les développeurs se sont  investis corps et âme dans leur travail, ils ont tout simplement créé un monde totalement en noir et blanc s’inspirant des premiers court métrages de Walt Disney dans les années 30.  Un hommage qui se reflète dans l’ensemble des niveaux qui composent le jeu. Dommage que les scintillements et l’aliasing viennent ternir cette fresque enchanteresse.  Coté animation rien à dire tout bouge comme un coucou suisse, c’est fluide est sans ralentissements. La bande-son est extraordinaire, les thèmes composer par Square sont sublimes et ils collent parfaitement à l’ambiance bucolique du soft. Le plus troublant dans cette histoire c’est de retrouver un doublage français de très grande qualité qui peut se targuer de se payer les voix originales de Disney entendues dans les films d’animation.  Les autres ne sont pas en restent non plus, vous allez très certainement en reconnaître quelques une qui vous sont familières. Le point le plus important vient de aussi de la maniabilité qui s’avère simple et plutôt ergonomique, dommage que pour accéder au menu il faille en plein combat s’arrêter pour se donner une potion de vie ! Difficile de survivre dans ces conditions, surtout quand un monstre vous colle aux fesses.

Au final fantaisiste et pour les autres aussi

Malgré un prologue inutilement trop long et des séances de blabla extrêmement longues, Kingdom Heart II se targue de proposer une durée de vie de plus de cinquante heures. Si en plus vous additionnez les mini-jeux, les phases de recherches et les combats supplémentaires, vous allez en avoir pour longtemps avant que le titre vous livre tous ces petits secrets. S’adressant avant tout aux fans de la saga Final Fantasy, le jeu se laisse dévorer également pour les autres qui ne sont pas forcement des habitués du genre, l’ambiance Disney est tellement riche que passer à coté serait considérer comme un pécher. Une production à posséder urgemment sous peine de rater une petite bombe, en cette fin de vie de PlayStation 2.

Testé sur PlayStation 2 par Evil et par Uruviel

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> Violence 0/10    
 
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> Jouabilité 8/10    
 
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> Bande-son 9/10    
 
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> Durée de vie 9/10    
 
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> Scénario 9/10    
 
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> Note finale 9/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Action / RPG
Age: dès 12 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Editeur: Square Enix
Site officiel: http://www.kingdomhearts2.eu.com/
Développeur: Square Enix& Buena Vista Interactive
> PAROLE DU RÉDACTEUR