Nous sommes en l’an de graçe 2036. Depuis l’éclipse solaire de 2035, la vie de Soma Cruz a été totalement bouleversée. Ce dernier est la réincarnation de Dracula en personne. Mais pour le moment l’âme du prince des ténèbres sommeil au plus profond de lui. Lors de la dernière éclipse solaire ou le château maudit « Castlevania » est apparu, la vérité lui éclata au grand jour. Soma à le pouvoir de s’emparer des âmes de ces ennemis. Cette puissance l’avait presque englouti dans les abîmes du mal. Mais heureusement ces amis l’ont ramené à la raison avant qu’il ne soit trop tard. Mais l’histoire aujourd’hui continue, une secte mystérieuse cherche à faire renaître le maître maléfique !
Un bon coup de fouet
Cet épisode est la suite logique du dernier Castlevania sorti sur GBA en 2003, Aria of Sorrow. Dawn of Sorrow reprend les éléments qui ont fait le succès de la saga jusqu’à maintenant. Prenez un château au dimension labyrinthique, ajoutez y des tas de monstre issue de la mythologie grec et quelques squelettes et terminer par un gameplay fantastique ou combinaison de puzzle et d’action/plates-formes sont la base du jeu. Mais l’intérêt gravite aussi autour du chapitre des âmes. Ces dernières une fois gagnées peuvent être utilisées directement comme magie ou carrément fusionnées avec certaines armes. Cela à pour effet d’avoir une puissance de frappe colossale. Soma pour progresser dans l’aventure doit également se battre contre des boss bien puissants. Ces derniers une fois battus lui donneront accès à des pouvoirs spéciaux qui lui permettent par la suite de se rendre dans des zones de plus en plus complexe du château maudit. La gestion de l’équipement et capital pour espérer progresser dans le scénario car si vous ne vous procurez pas certaine babiole le jeu peu s’avérer très difficile. Mais un petit tour chez le marchand fait vite gagner de la puissance.
Double vision
Le stylet et l’écran tactile dans l’histoire servent à différente fonction. Une fois les capacités adéquates obtenues. Certain élément peuvent être pulvérisés par la simple imposition du stylet sur l’écran, et surtout pour progresser dans l’aventure l’apprentissage des pentagrammes magiques trouvez devient vite indispensable. Ces cercles occultes ont pour intérêt d’ouvrir certaine porte celée et servent également à porter un coup de grâce symbolique à chaque boss. Bien sûr il faudra pour ça faire en sorte de les tracer justes et dans le bon timing du bout de vos doigts. L’écran du haut sert à afficher la carte en temps réel ou les statistique de votre personnage pendant la partie. Très pratique pour ne pas avoir besoin de casser le rythme de l’aventure en se rendant toute les 3 secondes dans les sous menus pour connaître sa position et les dégâts subis.
Un monument d’architecture
Techniquement parlant on se prend une super baffe dans la tronche ! Konami nous sert des graphismes 2D très soignés et aboutis. On peut passer des heures à se balader dans les niveaux juste pour apprécier la qualité des lieux. De plus les éléments vivant du titre comme les monstres sont tout simplement parfait avec plein de petits détails partout. L’animation et la maniabilité sont parfaites en tous points, rien à dire irréprochable. De plus un Castlevania sans une bande-son mythique ne serait rien du tout, et bien chapeau bas à ce niveau là car les thèmes et les bruitages sont extraordinaires.
J’en veux encore !
Dawn of Sorrow est actuellement le titre de la Nintendo DS. La durée de vie et d’environ une dizaine d’heure, mais pour le terminer à 100%, il faudra le faire dans tout les sens pour avoir accès à tout ces secrets cachés. De plus plusieurs fin sont disponible selon comment vous jouez. Le seul bémol dans l’histoire, c’est que l’on en redemande encore ! Du grand et du tout bon Konami sur DS. A posséder d’urgence pour tous les vrais joueurs qui se respectent !
Testé sur Nintendo DS par Evil
