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Note générale
GamesUP.ch |
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9/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox one |
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| Sur Xbox one |
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COMMENTAIRES |
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| C’est beau mais vide, c’est clinquant mais parfois peu rutilant, la musique est bonne mais peu de mondes viennent danser sur vos exploits. Si les intérieurs tout comme les belles continuent de nous faire saliver, le moteur graphique, qui au passage nous offre de sublimes paysages, se devait d’en rajouter une couche en peuplant ses rues et autres parcours d’une foule en délire. La météo se veut capricieuse, rendant vos courses palpitantes et bien plus crédibles, le rendu sur votre pare-brise est bluffant de réalisme, surtout les effets de poussières et les rayons de soleil qui vous éblouissent, vous faisant perdre le contrôle de votre vision, ce qui est déjà sacrément immersif. Les visuels étaient géniaux en Italie, ici en Australie qui reste un pays de déserts et de bush, le constat est un peu plus mitigé car les courses endiablées manquent de fans. Cela peut paraître sévère, je l’admets volontiers, mais je pense que l’on pouvait encore pousser le réalisme un ton au-dessus. |
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| Quelques coups de gueule pendant les courses mais rien au final qui ne viendra altérer votre plaisir de vous retrouver devant le meilleur épisode de la saga. |
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| Si on peut régler sa voiture pour lui donner un petit côté simulation, le gameplay donne aux voitures quelques libertés avec les lois de la physique, penchant obligatoire au vue de certaines épreuves qui enverront votre 456 Italia foncer à travers les chemins de terre en pleine forêt sous une pluie fine avec une étonnante facilité de contrôle de la traction. Cette liberté permet des courses totalement débridées, qui mélangent parfois les genres entre gros 4x4 et autres super cars, le jeu devient par moment totalement fou avec des épreuves contre des trains lancés à grande vitesse, un hélicoptère tractant un adversaire ou alors du co-voiturage qui impliquera de votre part de diriger en un minimum de temps votre rutilante One sur des routes rocailleuses. Le jeu donc est clairement typé arcade et se remarque surtout face aux concurrents du mode offline qui ont une tendance à prendre des courbes sans trop se soucier des lois de la physique, ou alors de bourriner à la fille indienne avec des aptitudes de pilotages digne de Senna. Parfois cela devient énervant de voir que vous roulez sans les aides à la conduite face à des adversaires qui eux bénéficient de progrès technique digne de Stark Industries. Le constat n’est pas meilleur en mode on-line où certains concurrents sont des minables connards s’employant à vous expédier dans les décors sans que l’on puisse y remédier en les expulsant d’épreuves que vous avez-vous-même organisées. Un comble pour un jeu qui fait la part belle aux modes on-line, même si d’autres pilotes relèvent le niveau par leur sportivité et leur gentillesse à vous dénicher quelques bons tuyaux, à vous offrir de longues ballades virtuelles à se tirer la bourre sur l’asphalte australien. Les commandes du jeu sont calquées sur celles de Forza, bien pensée et calibrée pour une prise en main immédiate, ce qui offre au final des courses qui peuvent devenir techniques par leur tracés mais au combien motivantes par les incroyables possibilités de drifts ravageurs, de dépassements hallucinants, de sauts par-dessus vos adversaires qui ne verront au final que les bouches brulantes de vos échappements leur glisser un bonjour typé marsupial. |
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| Entre une incroyable track list qui couvre plusieurs décennie de musiques voir siècles avec la radio dédiée aux symphonies, le bruit des moteurs hurlant leur envie de faire sauter le bitume avec à la clé un soin particulier pour rendre chaque voiture crédible, la bande son se veut des plus immersives. Le rendu de la pluie qui bat votre parebrise, les changements de conditions de routes entre asphalte et rocaille qui sont bien retranscrits, les passages à grande vitesse et le bruit du vent donnent à ce Forza Horizon une folle envie de faire bruler les radars. |
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| Tous simplement colossal que ce soit en ligne ou hors ligne, les heures de jeux vont défiler sans que vous ne perdiez le moindre plaisir à accumuler les défis les plus insensés. Vos créations vous permettront une liberté totale dans le choix des épreuves, vos types d’adversaires, les différentes tractions sur une épreuve, le climat, le nombre de tour voir tout simplement de créer votre propre défis de vitesses, de passage de radar etc… Le mode multi offre lui aussi des courses palpitantes faites de frimes et de bagarres rageuses avec quelques concurrents détestables mais c’est la loi sur ce type de jeu de courses qui fédèrent malheureusement des personnes peu encline à perdre. En résumé, votre vie sociale est déjà morte et vous allez pouvoir vous prélasser sur le sable chaud australien en admirant votre rutilante voiture gagnée sur un tirage parfois très généreux en modèles spéciaux. |
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| On incarne au choix un ou une pilote, invité d’honneur d’un grand rassemblement de coureur sous le soleil australien, qui aura carte blanche pour créer à loisir des épreuves de courses et de défis tous plus fou les uns que les autres. Là s’arrête le scénario qui par la suite se contentera de quelques dialogues basiques pour vous encourager à défier les meilleurs pilotes. |
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| Malgré notre envie d’en avoir encore plus pour notre argent, il faut reconnaître que ce Forza Horizon 3 en jette un maximum pour fédérer toute une pléiade de joueurs qui seront ravis de la liberté offerte par ce titre. Très arcade dans son principe, il reste néanmoins paramétrable à souhait pour offrir des sensations de conduite grisantes et totalement en adéquation avec les multiples challenges. Alors foncez, cheveux aux vents australs, et faites sauter les limitations et tant pis si votre rêve virtuel restera pour la majorité seulement un bon souvenir devant ses voitures totalement hors de prix pour le commun des mortels. |
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