 |
|
|
|
| + Recherche avancée |
| + Login |
| + Newsletter |
|
|
|
| |
 |
| |
|
 |
| Resident Evil : Revelations 2 |
|
|
|
|
| |
| |
Note générale
GamesUP.ch |
|
7/10 |
|
|
| |
Note générale
lecteurs |
|
Non noté |
|
|
| |
Testé sur |
| |
 |
|
PlayStation 4 |
|
|
 |
|
| Sur Ordinateur - PlayStation 3 - PlayStation 4 - Xbox 360 - Xbox one |
|
|
|
|
| |
LAISSER UN COMMENTAIRE |
|
COMMENTAIRES |
|
| Pas très impressionnant, tel est le constat de ce nouvel opus qui ne fait guère mieux que la version Wii U de l’épisode précédent. Les références aux anciens épisodes sont nombreuses tel que la prison délabrée, la sinistre forêt linéaire, le village de pêcheur tristounet, la ville bien vide, l’usine et l’abattoir un peu plus vivants mais en général les visuels sont au niveau de l’ancienne génération. Au vue du prix, le résultat est tout de même honnête avec une modélisation correcte des personnages et une galerie de monstruosités assez convaincantes même si leurs déplacements sont encore bien trop saccadés. On n’évite pas non plus des bugs d’affichages assez loufoques, des personnages qui restent coincés dans un décor, nécessitant un rechargement de la sauvegarde, quelques problèmes d’affichages et des saccades lors de la confusion des combats qui se déroulent « trop » souvent dans des endroits confinés. On pestera aussi sur les murs invisibles pas toujours très cohérents, une imprécision notoire dans le lancer de pierre de Natalia et l’impossibilité de franchir des obstacles pas très imposants. |
| > notez cette section |
|
| Que serait un Resident Evil sans son lot de cadavres putréfiés, ses trainées sanglantes, ses monstres gélatineux, ses morts-vivants dégarnis. Quelques scènes gores sont au programme de cette sympathique production horrifique. |
| > notez cette section |
|
| Bon Dieu que cela reste encore laborieux et cela tant bien même que la série à quand même lubrifié les vieux os de mécaniques qui finissaient invariablement à prendre des rhumatismes. Les déplacements restent lourds et hésitants, surtout dans les endroits aux obstacles invisibles. Votre personnage se prendra les pieds dans un recoin et ne pourra plus se défaire des bras invisibles qui l’enlaceront dans une étreinte murale mortelle. Par contre le système de visée, qui permet de tirer en se déplaçant, offre un confort indéniable lors des combats. Taillé pour la coopération, le jeu montre ses faiblesses en solo avec une IA pas toujours très réactives et incapables de se soigner ou de se mettre à couvert dans les moments chauds. L’inventaire est par contre facile d’accès sur PS4, avec un emploi judicieux du pavé tactile qui permet un accès rapide à votre inventaire, de switcher les items entre les deux personnages, d’effectuer des combinaisons pour de nouvelles potions ou armes. Là aussi tout est mis en œuvre pour offrir aux joueurs de nombreuses manières de se défaire du bestiaire avec des armes customisées, des pièces de modifications, de très nombreux types d’explosifs et une bonne collaboration des deux personnages en plein combat. Moira éblouit les ennemis avec sa lampe qui révèle aussi les trésors cachés, Natalia dispose elle d’un don de troisième vue qui fait apparaître dans un halo lumineux les ennemis et autres secrets. Vos scores de fin de partie vous permettent de gagner des points qui servent à booster les performances de vos personnages et qui offrent une vraie plus-value pendant les combats. Plus réactif, moins stupides, les duos se mettent enfin à collaborer ensemble pour faire preuve de plus de cohérence lors des moments chauds. Resident Evil garde toujours dans ses vieux placards son gameplay un peu usé, qui clopine souvent, fera râler mais qui arrive malgré tout à garder ce charme old-school qui nous font aimer tant aimer la saga. |
| > notez cette section |
|
| Les doublages sont corrects même si les dialogues sont trop souvent du niveau d’un soap opéra sud-américain. Plus de profondeur se dégage des rapports entre Burton et Natalia qui forment un duo attachant et bien plus crédible. Les musiques sont dans la lignée des productions de la saga, avec quelques envolées lyriques répétitives lors des combats contre les boss et quelques passages plus calmes, plus subtiles pendant les périodes d’exploration. Les bruitages sont corrects, sans plus car au final la peur n’est pas présente au casting de survival pas si horrifique que cela. |
| > notez cette section |
|
| La segmentation des épisodes est un des points les plus étranges de ce nouvel opus qui poussera les plus intelligents à attendre la version finale pour éviter la frustration de se trouver devant un spoiler énorme annonçant la suite de l’histoire et révélant au passage le voile sur certains secrets. En mode normal les niveaux se bouclent en 2 heures en comptant la fouille pour découvrir les dessins de Kafka, les médaillons bleus à détruire, les nids d’insectes et autres items, qui font passer la durée à 8 heures. Deux histoires bonus sont au programme ainsi que l’inévitable mode commando qui vous enverra courir après les chronos dans des niveaux déjà vu sur d’autres épisodes. |
| > notez cette section |
|
| Ce qui a de bien avec la saga, c’est qu’elle n’est jamais à cours d’argument pour infliger à ces héros des histoires toujours aussi tourmentées. On y suit cette fois-ci la destinée de quatre personnes, Claire Redfield et Moira Burton prise en otage et expédiées sur une île mystérieuse et Burton père partit à la recherche de sa fille disparue 6 mois après les évènements et qui va rencontrer une bien étrange jeune fille. Le scénario monte gentiment en puissance après un début assez laborieux mais ne peut s’empêcher de nous offrir des mécaniques déjà usées jusqu’à la moelle avec son lot de retournements de situations habituelles, les ennemis oubliés qui fomentent leur vengeance, des scripts gros comme des maisons qui au final n’offrent pas grand-chose en terme de réelle surprise. |
| > notez cette section |
|
| Sans réelle surprise, la saga fait fi des révélations fracassantes et se concentre uniquement sur l’action à outrance, en oubliant encore ce qui faisait le charme des trois premiers épisodes : de longs moments de solitude dans de sombres couloirs. Le jeu n’est donc pas mauvais mais ne révolutionne en rien une saga qui commence néanmoins à s’essouffler gentiment à force de nous imposer les mêmes mécaniques. On est dans un film d’action et on avance vers notre libération en trucidant des hordes d’ennemis pas très futés tout en se disant que le prix de la galette se veut quand même attractive et pourra nous maintenir quelques heures devant notre poste de télévision. |
| > notez cette section |
|
|
| |
|
|
|
|
| |
| |
| |
