 |
|
|
|
| + Recherche avancée |
| + Login |
| + Newsletter |
|
|
|
| |
 |
| |
|
 |
|
|
|
| |
| |
Note générale
GamesUP.ch |
|
7.5/10 |
|
|
| |
Note générale
lecteurs |
|
Non noté |
|
|
| |
Testé sur |
| |
 |
|
PlayStation 4 |
|
|
 |
|
| Sur PlayStation 3 - PlayStation 4 - Xbox 360 - Xbox one |
|
|
|
|
| |
LAISSER UN COMMENTAIRE |
|
COMMENTAIRES |
|
| Le passage à la nouvelle génération se traduit par une modélisation bien plus fine et détaillée des joueurs, le titre est très beau et d’une fluidité à toute épreuve. La modélisation des joueurs et de leurs visages sont criantes de réalismes. Si les cinématiques ainsi que les ralentis sont toujours aussi spectaculaire avec une qualité de détails saisissants, on note néanmoins des saccades pendant la commémoration d’un but, d’une action spectaculaire un peu comme si le temps se figeait pendant une seconde... La gifle graphique se trouve dans les détails des équipements qui ne semblent plus coller à la peau, flottent sur les corps et qui s’adaptent aux mouvements du joueur pendant les actions sur la glace. La séparation de la gestion de la cross, du joueur et de son équipement apportent un réalisme bluffant. Le True Performance Skating continue à faire son effet avec une prise en compte bien plus réel de la physique du joueur, de son caractère explosif de l’élan sur la glace et un contrôle total sur la vitesse. Les arènes ont- elles aussi bénéficié d’un lifting les rendant plus crédibles, avec des partisans qui ne semblent plus issus de la même famille. Ceux-ci sont bien plus nombreux dans les plans serrés et plus diversifiés rendant l’émotion du public plus vivante. Mais cette débauche se trouve étrangement amputée de séquence qui apparaissent pour un match, comme les plans de la ville avec le stade et qui parfois disparaissent au suivant pour nous plonger directement au cœur des débats sans le cérémonial pyrotechnique des versions précédentes. Il semble toujours manquer quelques choses à ce jeu, comme si il n’avait pas été fignolé dans les moindres détails, comme si il avait manqué aux développeurs quelques mois de plus pour le rendre incontournable. |
| > notez cette section |
|
| Le hockey, parfois vous demandera de jouer des points pour vous faire respecter auprès des fortes têtes. Quelques KO viennent rythmer l’ambiance surchauffée des arénas. |
| > notez cette section |
|
| Difficile à prendre en main au départ vu ses innombrables possibilités, elle permet avec un peu d’entraînement de briller sur la glace de mille feux. Le réalisme est bluffant et le comportement des joueurs se rapprochent de la réalité. La prise en compte de la vitesse de démarrage, de l’élan et de la physique du patinage apporte encore une plus-value à un jeu qui atteint désormais des sommets en termes de sensation de patinage. La configuration des commandes hybride permet en outre un excellent compromis entre la jouabilité de l’époque avec le déclenchement des tirs par pression sur des boutons et les fonctions des sticks pour enchaîner encore plus facilement les feintes les plus époustouflantes. |
| > notez cette section |
|
| L’habillage sonore avec les bruitages des collisions, les virages serrés des patins griffant la glace, cris de l’arbitre et du banc, le réalisme et total pour une immersion de qualité. Les encouragements des supporters collent parfaitement à l’action et permettent de pleinement se plonger dans l’ambiance si particulière des immenses arénas Nord- Américaines. Les commentaires sont cette fois-ci assurés par le trio Doc Emmerich – Eddie Olczyk et Ray Ferraro qui officient sur la chaîne NBCSN ; ils apportent un peu plus de pèche pendant les rencontres avec une bien meilleures analyse des actions jouées et une plus grande cohérence avec ce qui se passe pendant le jeu. Reste quelques ratés inévitables qui ne nuisent pas à l’immersion. Les musiques d’ambiance sont dans la moyenne pour un jeu de sport. |
| > notez cette section |
|
Sur ce point le match n’ira pas au-delà des prolongations au vue des modes manquant et de la minceur de ceux qui restent sur le banc. Exit la ligue EA Sports, impossible de jouer à plusieurs dans une même équipe lors d’une partie en ligne, la draft d’entrée avant chaque saison se voit disparaître pour un mode « Deviens Pro » allégé et démuni de toutes les fonctions et possibilités qui le rendait incontournable dans les versions précédentes. Les objectifs en saison sont minimalistes et le coaching tout simplement renvoyé au vestiaire. Que dire aussi de l’impossibilité d’incarner une star de hockey comme Lemieux ou autre Roy qui apportait un véritable vent de folie dans les parties et pouvait nous envoyer chasser des buts aux côtés des prodigues d’aujourd’hui. Les défenseurs de cette licence vous diront que tous les jeux nouvelle génération d’EA Sports subissent le même traitement mais se serait oublier que la galette se vent toujours au même prix et que le manque de temps et le passage sur un autre support technique ne doit pas continuellement servir d’excuse à un contenu nivelé par le bas. Je ne vous parle même des réglages qui se perdent et que l’on doit constamment réactiver pendant une saison, comme le temps de match et commentaire du trio voire même des réglages sur la jouabilité qui redeviennent ceux de base proposé au lancement du jeu. Il reste tout de même les modes saisons, deviens pro et directeur général, des modes en ligne, et la possibilité de jouer dans de nombreux championnats nord-américain comme la AHL (Américan hockey ligue), les juniors majeurs en WHL, OHL, LHJMQ et les championnats européens avec les ligues suédoises, finlandaises, allemandes, république tchèque et la Ligue nationale suisse qui n’a pas été oubliée.
Pour le reste il semblerait que les autres modes suffiront à vous faire patiner tout l’hiver en attendant de voir débarquer l’année prochaine une version nettement plus en rapport avec ce que l’éditeur nous avait proposé jusqu’à présent. |
| > notez cette section |
|
| Avec son mode devient pro minimaliste, amputé de toutes les fonctions de l’année précédente qui nous permettaient de vraiment se glisser dans la peau d’une jeune star en devenir, l’ascension au Panthéon des héros de la glace se fait de manière bien morne avec l’étrange sensation de n’avoir qu’un jeu de démo au final. Où sont les Lemieux, Gretsky et autres Roy qu’on pouvait incarner, les impressions et les interviews de ces stars lors de nos exploits suite à un match avec 5 passes décisives ou les 8 buts en match qui donnaient suite à de longues séquences en images pour revivre l’exploit en live ? Tout simplement sur le banc des remplaçants en attendant de pouvoir nous le faire payer au prix fort pour quelques DLC de plus. |
| > notez cette section |
|
| Techniquement presque irréprochable au niveau de la qualité du patinage et de la prise en compte physique des qualités naturelles des joueurs qui évoluent dans un habillage graphique de haute volée, cette nouvelle itération se veut une transition entre deux générations de consoles. Mais cette explication peut-elle expliquer que bon nombre de contenu disparaissent, faute de temps. Que les modes légendaires et les petits plus qui nous faisaient adorer cette simulation en la propulsant d’année en année au firmament du hockey virtuel se voient reléguées sur le banc des remplaçants ? On se rappelle le triste NBA Live 14 qui lui était sorti du vestiaire sans ses habits alors que dire de cette version graphiquement sublime qui pourtant cafouille son hockey de manière étrange et pas toujours excusable. Les partisans jugeront les qualités de ce jeu, personnellement je vais ressortir la version précédente et me mettre de nouveau dans les patins virtuels du grand Lemieux qui comme son nom l’indique attendait surement plus d’une telle licence. |
| > notez cette section |
|
|
| |
|
|
|
|
| |
| |
| |
