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Note générale
GamesUP.ch |
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8/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox 360 |
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| Sur Xbox 360 - Xbox Live |
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COMMENTAIRES |
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| Le studio qui se cache derrière ce monument à la gloire du hard rock est déjà à l’origine de titre absolument original comme Dead Samurai et Vampire Smile et pour l’occasion Ska Studios fait couler de nouveau des litres d’hémoglobines dans un style visuels totalement loufoques et glauques qui rappels des œuvres qui auraient été peintes par des écoliers talentueux mais un brin irrévérencieux. L’esthétique est plein de charme, un peu comme des estampes japonaises qui auraient cédé leurs traits mélancoliques à des penchants plus crasseux. C’est à la fois très colorés, avec des traits qui dépassent un peu des lignes et souvent grisâtres pour mieux faire ressortir le côté rebelle et sauvage du groupe qui se donne à cœur joie pour rajouter des teintes rouges sangs dans des niveaux qui sont un hymne au découpage. |
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| On découpe, tronçonne, tranche du lard et autre membres, arrose d'acide si affinité voire bien pire encore le tout dans des visuels proches de bandes dessinées ou de dessins d'affreux cancres doués de la plume. |
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| Vous avancez, vous cognez, vous écraser, éviscérer, massacrer, éventrer voire plus si affinité avec tout ce qui vous tombera sur la main dans des niveaux en 2D scrolling horizontal pour enrayer les hordes putrides qui tenteront de vous barrer la route. On pourrait penser qu’à la longue cette boucherie pourrait lasser mais on se retrouve à en redemander encore et encore à cause notamment d’un rythme qui ne décélère jamais et des phases de plates-formes et jeux d’adresse qui pimentent les niveaux et effacent tout effet de monotonie. On prend même du temps à essayer de toutes nouvelles tenues vestimentaires histoire de réveiller la bête qui sommeille en nous qui révèlera aussi des pouvoirs étonnants qui mettront à mal les succubes et autres sorcières dans un déluges aux effets très tâchant. Comme chacun des personnages à ses propres caractéristiques et peut lancer des sorts et autres invocations gutturales des plus loufoques, la rejouabilité devient vite excellente et l’envie de se lancer dans des niveaux aux modes de difficultés supérieurs avec un personnage au maximum de ses possibilités et un luxe qui ne se refuse pas. |
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| C’est du lourd, un mélange d’Anthrax et Slayer sauce hardcore et sa bourrine sec dans les tympans pour notre plus grand plaisir. On en oublie que la bande n’est pas des plus causantes pour mieux se concentrer sur cette marche des Walkyries aux sons des guitares. |
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| Comptez une huitaine d’heure pour niveler l’histoire et plus si affinité car les modes Chaos et Anarchie se débloquent uniquement après avoir terminé le jeu une première fois. L’envie de se glisser dans la peau d’autres personnages est aussi une plus-value indéniable qui augmente la durée du carnage métallique. Par contre le mode multi réserve un peu trop souvent son lot de mauvaises surprises à cause du système qui ne permet pas de faire le jeu avec plusieurs personnages identiques mais surtout au fait que vous pouvez vous taper dessus et vous faire tuer par votre propre bande. Et le pire c’est que des petits crétins trouvent cela amusant et polluent les parties justes pour ce petit plaisir imbécile. Reste aussi les déconnections pendant les parties qui vous pousseront rapidement à partager ce jeu avec vos amis pour éviter les mauvaises surprises. |
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| Quand deux amis décident de monter un groupe qui dépote sévère et que l’un deux se décide au final de se passer de son copain crasseux, des étincelles fusent des guitares pour mieux sonner le glas d’une vengeance démoniaque. Charlie et sa clique de hardeux vont faire les frais de la colère de Paul qui pactise avec les démons pour répandre sur terre sa horde de morts vivants. Il va falloir éviscérer grave pour mettre un terme à la colère du frère jumeau de Manson. C’est fun et tellement délirant que l’on se prend vite au jeu de la boucherie de masse dans un univers entre Sepultura et Megadeth. |
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| Encore une pépite de plus de la part de Sky Studios qui agrémente le Summer Arcade d’un jeu bien sanglant et trash, saupoudré d’une légère insolence qui nous rappelle que l’on peut faire d’excellent jeu sans se cacher derrière des triples A. La bande sonore dépote sévère, les visuels sont sacrément accrocheurs et on finit par devenir accroc à ce groupe d’enfer qui nous gratifie d’un riff sauvage en cette belle période estivale. |
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> PAROLE DU RÉDACTEUR
La bande son est déjà de toute beauté et comme le jeu est un vrai défouloir, j'ai ressorti pour l'occasion mon vieux tee-shirt sale de Slayer qui sentait encore la bière d'un Monster of Rock déjà bien lointain.
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