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Note générale
GamesUP.ch |
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2.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox 360 |
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| Sur Ordinateur - PlayStation 3 - PlayStation Network - Xbox 360 - Xbox Live |
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COMMENTAIRES |
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| Au vue de l’accoutrement de votre héros barbu tellement bien habillé que l’on pourrait le confondre avec les espèces putréfiées qui inondent le jeu, qui passera son temps à rouler dans tous les sens comme un débile sous acide pour éviter les vagues ennemies qui tombent de partout comme des flocons de neige en Colombie, vous n’aurez que très peu de temps pour admirer les visuels sommaires et sans grand reliefs qui habillent des niveaux d’un classicisme rare. Bureau, entrepôt, labo et éventuellement gros vomito après quelques séances qui mettront à mal votre estomac et votre sens de la vision. |
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| Comme on tue des gens déjà morts et que tout finit au final dans une lueur bleue, la note de la violence sera la plus élevée du jeu, histoire de vous prévenir qu’il y a beaucoup mieux sur le XBLA et pour le même prix. |
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| Déjà que l’on se retrouve en quelques secondes au beau milieu d’une arène sans la moindre explication, il faudra composer très rapidement avec votre instinct de joueur de TPS pour trouver rapidement vos marques devant cette gabegie à peine dissimulée. Car en plus de ce premier écueil, vous allez devoir vous battre avec une latence de plus d’une demi-seconde entre vos actions et leurs réalisations à l’écran ce qui donne déjà le ton de cette production qui n’a certainement pas dû passer en post-production avant d’être vomie pour le public. Mais le cauchemar ne s’arrête pas là car en plus d’être injouable, la visée précise est tellement mal fichue qu’elle vous flanquera la nausée au bout de quelques minutes. On ne voit plus rien, les ennemis arrivent par vague dont ne sait où et on finit par sauter dans tous les sens en attendant fébrilement que cela passe. Alors certes il y a bien un conteur de kill qui fait grimper une jauge qui vous permet de déclencher quelques pouvoirs, quelques boss de fin de vagues et vos équipiers virtuels, quand vous avez la chance d’en trouver un, qui décideront de vous quitter après quelques minutes en vociférant des grossièreté devant cette daube monstrueuse sans que vous ne trouviez le moindre reproche à leur faire. |
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| A part un vague bruit de fond et quelques cris venant tout droit du premier tripot du coin, il n’y a rien à signaler dans cette production qui n’avait sûrement pas les moyens de se payer une bande son. |
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| Il n’y a ni scénario et encore moins de jeu solo puisque derrière cette farce se cache en fait un système de horde qui consistera à résister à 5 vagues successives dans des niveaux que vous aurez au préalable choisit. Vous allez la plus part du temps à vous retrouver tout seul à dézinguer des morts-vivants car les vrais vivants, eux, ont eu la très bonne idée de déserter le jeu depuis des siècles et des siècles… amen ! |
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| Et bien il n’y en a pas. Entendez par là que vous allez vous retrouver dans la peau putréfiée d’un de ces deux chasseurs d’entités maléfiques, un vieux cow-boy barbu interprété par Jeff Bridges dans l’adaptation, je vous le rappelle au cinéma et de son acolyte le très remuant Nick, R. Reynolds qui a dû oublier une de ces lanternes dans les confins de l’espace pour se retrouver à jouer les doublures sans son beau costume vert dans pareil navet. Ils sont morts et doivent renvoyer les morts dans le caniveau qu’ils n’auraient jamais dû quitter. |
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| Fuyez pauvre mortel devant le carnaval burlesque de morts à peine décharnés qui se jetteront sur vous avec une telle férocité comme si ils essayaient de vous faire passer un message de l’au-delà en vous suppliant de quitter ce jeu, chose que vous ferez très rapidement au vue de ce triste spectacle. |
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> PAROLE DU RÉDACTEUR
Fuyez pauvres mortels devant ce jeu car d'autres nettement plus intéressants seront testés dans nos colonnes.
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