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Note générale
GamesUP.ch |
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6/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Ordinateur |
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Sur Ordinateur - PlayStation 3 - Wii U - Xbox 360 |
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COMMENTAIRES |
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On ne va pas se le cacher, Metro : Last Light est beau. Le 4A engine fait des merveilles et nous restitue un univers criant de réalisme. La modélisation et l'animation de ce monde est également très bonne et on serait bien en peine de reprocher quelque chose au paraitre de ce jeu. Le seul bémol esthétique concernerait les tunnels, parfois un peu vides et tristounets en comparaison de l'extérieur. Par contre, qu'est-ce que ça tourne mal sur PC... |
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Le jeu parle de thématiques résolument adultes. Entre les conflits politiques et idéologiques, les mutants, la violence, la déchéance humaine et le langage fleuri des survivants, ce Metro : Last Light est réellement destiné à des adultes, sans doute plus à même de comprendre l'atmosphère et le propos qu'il véhicule. |
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Un des gros point noir du jeu. Même si l'aspect FPS a passablement été amélioré depuis Metro 2033, cette facette manque toujours d'intérêt. La faute en revient à des mécaniques archaïques et mal pensées. L'IA est d'une stupidité abyssale, l'aspect survie est éclipsé par une trop grande facilité et la construction du jeu en un seul et même couloir linéaire, sans espoir de pouvoir rebrousser chemin à l'envie, dessert totalement l'ambiance créée par 4A Games. Si les deux premiers défauts cités sont améliorés par le mode de difficulté "ranger", le dernier est proprement irrécupérable (mais j'expliciterais la chose dans la partie scénario). Enfin, cerise sur le gâteau, ce mode "ranger" qui donne enfin un peu de challenge... bah il vous faudra débourser encore des thunes pour vous le payer en DLC. Oui, je vous le dit, Koch Media et 4A Games ont certainement leurs bureaux trop près de Tchernobyl. |
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Que ce soit pour le doublage, les bruitages ou les musiques, ce Metro : Last Light s'en sort aussi bien que son ainé. L'immersion est constante grâce à cela, d'autant plus lorsque vous mettez les dialogues en russe. La bande son fait parfaitement son travail même si elle n'est pas absolument mémorable. |
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En l’état, sans son mode ranger/attrape couillon, le jeu se termine en une dizaine d'heures. C'est relativement dans la norme mais compte tenu du potentiel de l'univers et du jeu, on se serait pris à espérer bien plus (s'il avait été moins chiant aussi). Et comme il n'y a pas de multijoueur sur ce titre, autant dire qu'il fait partie des jeux qu'on finit et qu'on range dans sa ludothéque. |
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Dieu sait que c'est sans doute un des points où je suis le plus critique dans un jeu. Car quoi qu'on en dise, ce Metro : Last Light est un FPS à scénario, au même titre qu'un Bioshock. Or voilà, même si le scénario, dans son propos, est intéressant et pas trop mal foutu, il pêche dans de nombreux autres domaines. Le défaut le plus flagrant est son manque de rythme. Il est évident qu'il ne faut pas s'attendre à de l'action débridée, ce serait même dommage. Metro LL se veut plus réaliste, plus oppressant. Malheureusement, ici, il faudrait imaginer le film The Road avec des scènes contemplatives à la Terrence Malick mais sans poésie ou message, juste une attente chiante. Et oui, souvent, Metro LL se pare de moments de tranquillité qui ne véhiculent pas d'émotion, on est juste dans l'expectative. Par exemple, nos moments passés dans les zones de refuge pourraient être fortes et intéressantes mais cette immersion est plombée par trois écueils majeurs : les dialogues sont scriptés, on a aucune interaction avec les PNJ lambda et la linéarité du jeu nous force à suivre un couloir sans raison ou possibilité de le visiter ultérieurement. On est loin de la liberté d'un S.T.A.L.K.E.R qui aurait été infiniment plus profitable à ce Métro LL tant son ambiance est en définitive intéressante. Reste que le scénario aborde des thématiques intéressantes, les traite pas trop mal, reste relativement cohérent dans sa narration et laisse planer un certain mystère sur divers éléments de sa mythologie, renforçant par la même son côté angoissant et oppressant. |
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Bon sang que j'aurais voulu mettre plus à cet opus. Metro : Last Light (comme son ainé) fait partie de ces jeux qui ont gâché leur potentiel. Autant l'univers, l'esthétique et l'ambiance font qu'on s'attache franchement à ce titre, autant son gameplay et ses écueils de narration font qu'on s'en lasse, voir qu'on le fuit. En toute objectivité, le FPS pur n'est peut-être pas le modèle de jeu qui conviendrait le mieux à la franchise. Une histoire linéaire reste souvent intéressante mais le fait que l'action de Metro LL se déroule dans un réseau de métro conduit à se demander pourquoi on ne peut pas aller à une station plutôt qu'à une autre. Le jeu manque de cette raison qui nous pousse à accepter la linéarité de l'histoire. Du coup, un FPS ouvert, mâtiné d’éléments de RPG aurait peut-être mieux collé. Oui, comme un S.T.A.L.K.E.R. Mais est-ce vraiment un mal de faire comme l'ainé tant il était bien? Surtout quand l'univers établi par 4A Games et Dmitri Gloukhovski est aussi riche et intéressant. |
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