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Call of Juarez : Gunslinger |
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Note générale
GamesUP.ch |
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8.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox 360 |
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Sur Ordinateur - PlayStation Network - Xbox 360 - Xbox Live |
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COMMENTAIRES |
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La qualité visuelle est tout simplement remarquable et on peut saluer le travail qui a été fait sur le style utilisé pour nous plonger avec toute la fureur apache dans l’ambiance poussiéreuse des villes du Far-West, ses saloons propices aux règlements de compte pour une poignée de dollars et des paysages qui nous rappellent l’épopée de la Conquête de l’Ouest avec ses canyons vertigineux, mines abandonnées, paysages sauvages caressé par le vent de la plaine où notre route croisera très souvent d’affreux Chasseurs de Scalps entre des moments de contemplation sur les beautés du Rio Grande. |
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Ne vous attendez pas à des tirs de sommation lors de votre progression dans les niveaux car votre road movie sanglant s’apparente à un massacre en règle qui ferait passer la bande à William Holden pour des mous de la gâchette. Sam Peckinpah à sa nouvelle Horde Sauvage, les Coups de Feu dans la Sierra vont pleuvoir et faire mouche avec une régularité de métronome, Pat Garrett et le Kid continueront de fredonner du bon Dylan, le brigand bien aimé Jesse James cède sa place à l’Ange des Maudits et le périple de notre justicier remplit le Rio Bravo d’un monticule de cadavres. |
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Vos pétoires ne risquent pas de s’enrayer devant la facilité de la prise en main qui distille une frénésie totalement jubilatoire. Dès le train de 3.10 pour Yuma entré en gare, on se rue dans les niveaux les colts crachant la mort et la désolation en empilant les cadavres avec une facilité déconcertante. Tirs dans la tête, perforants et autres massacres sauvages à la volée font grimper un conteur qui une fois remplit permet à l’Homme au Colt d’or de déchainer une pluie de plomb qui ferait trembler Josey Walles, hors-la loi et autres chasseurs de scalps. Vos exploits et vos séries vous permettent même d’améliorer les caractéristiques et les capacités de votre ange de la mort. Un pistolero qui dégaine deux colts, tire encore plus vite, recharge en courant et qui devient au fil du temps un vrai tireur d’élite au sang de trappeur, voilà le programme de cette chasse à l’homme aussi débridée qu’un Appaloosa bien dressé. Et que dire de ces Duels au Soleil tout simplement remarquable qui demandent technicité et réactivité pour ne pas finir comme la Cible Humaine, truffée de balles et allongée dans un cercueil miteux. La seule fausse note à cette partition presque parfaite viendrait du manque de réactivité de notre héros qui peine à grimper sur quelques corniches et autres obstacles pas si Open Range que cela. |
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L’Homme à l’harmonica et ses séquences grinçantes, les hymnes à la liberté sauvage d’Ennio Morricone se mélangent dans une Danse avec les Loups survoltée et passionnée, magnifiée par la voix rauque et pleine de rage d’un héros aussi sauvage que Wyatt Earp. Les doublages sont fantastiques et le Train sifflera trois fois son admiration devant cette épopée de la Conquête de l’Ouest. |
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Il était une fois la Révolution d’une licence qui ne voulait pas léser une nouvelle fois les fans d’un troisième opus qui avait trop vite fini dans le goudron et les plumes. La Captive aux yeux clairs pleure de joie devant la durée exhaustive de ce Call of Juarez qui demandera aux plus habiles gâchettes de boucler l’aventure en un peu plus de 12 heures en ce la jouant au niveau Authentique. Et l’homme qui n’a pas d’étoile pourra toujours se lancer dans des duels fratricides ou refaire l’aventure de manière totalement arcade. |
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Un vieux chasseur de prime raconte à son auditoire d’un jour dans un vieux tripot d’Abilene en 1910, l’histoire de l’Homme qui tua Liberty Valance et bien d’autres pistoleros entre deux bourbons et beaucoup de trous noirs d’une mémoire propice à bien des excès. Ce Dernier des Géants, véritable légende vivante romance ses nombreuses aventures qui le firent rencontrer de très nombreuses célébrités locales comme Billy the Kid et Pat Garrett, les frères Dalton, l’Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, la dernière Danse avec les Loups d’un vieil indien désabusé par les Soldats Bleus avec une maestria littéraire qui transforme chacun de ces récits en une Chevauchée Fantastique qui prend très souvent des allures de Règlements de compte à OK Corral. Les victimes s’empilent, Mort ou Vif, et au final l’Homme qui n’a pas d’Etoile est Impitoyable dans sa quête vengeresse. |
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L’homme à l’Harmonica peut de nouveau entonner sa longue complainte lancinante, l’Homme des hautes plaines passer négligemment sa main sur son stetson, le héros solitaire reprendre sa marche vers le soleil couchant au côté de la caravane de l’Ouest. Techland a très justement corrigé son tir et nous replonge avec maestria dans la sauvagerie d’une époque tumultueuse. Johnny Guitare est heureux car pour le prix de cette pépite, il peut encore nous jouer une toute dernière ballade. |
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
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Version: |
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Genre: |
FPS |
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Age: |
dès 16 ans |
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Nombre de joueurs: |
1 |
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Online: |
Non |
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Date de sortie: |
22.05.2013 |
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Editeur: |
Ubisoft |
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Site officiel: |
http://www.techland.pl/ |
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Développeur: |
Techland |
> PAROLE DU RÉDACTEUR
Ce titre est une des pépites de plus que l'on trouve sur le Live. Rien à redire sur son contenu car chaque contrat nous envoie revivre une épopée sauvage totalement jubilatoire.
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