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Note générale
GamesUP.ch |
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9/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox 360 |
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Sur PlayStation 3 - Xbox 360 |
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COMMENTAIRES |
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L’esthétisme atteint ici son paroxysme dans une production stylisée et soignée. Les décors sont fouillés et illuminés de mille feux aux couleurs harmonieuses. Les protagonistes principaux sont modélisés majestueusement et vêtus comme dans un défilé de haute-couture laissant apparaitre des plastiques moulantes, surtout pour nos amies les sorcières, du plus bel effet. Chaques armes et objets sont des petites œuvres d’art visuel à eux seul. Pour les ennemis, le niveau de détail fourni est incroyable, les anges déchirent gravent à l’écran ! Surtout que certains prennent plusieurs niveaux sans que la console ralentisse, enfin sauf si vous avez une version PS3 du jeu entre les mains. Les effets visuels des attaques sons à couper le souffle par leur complexité et par leur force graphique. Il faut voir notre Bayonetta se mettre à nue pour exécuter avec panache des incantations pour le moins inimaginables mais drôlement bien trouvées ! |
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Du sang, du boudin, des tripes, du cuir, des poses subjectives à connotation sexuelle. Bayonetta est un jeu irrévérencieux à déconseiller à tous les amateurs de foi qui prient les anges ! |
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Bordélique pour ceux qui ne jouent pas, Bayonetta se paie le luxe d’exécuter des centaines de combinaisons de coups que le joueur peut allégrement suivre sans problème sans pour autant qu’il se retrouver largué par tant de débauche visuelle. Notre sorcière joue avec une pléthore d’artifices à faire pâlir d’envie les psychopathes attardés des films à succès "HOTEL" ; Vierge de fer, cheval métallique, guillotine etc. Entre fouet, Katana, Flingues et Patins à glace, chacun pourra trouver moult façon agréable de démembrer et massacrer les anges. Le pire dans cette histoire et de voir comment les esquives se font sans aucun problème, permettant au passage de déclencher des ralentis momentanés augmentant la puissance d’attaque destructrice de notre héroïne atypique. |
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Les amoureux de métal furieux peuvent aller voir ailleurs ! Les compositions présentes font dans l’inattendue pour ce genre de jeu. Fly Me to the Moon en est le thème principal et vous porte sur des airs angéliques, suivent des reprises des jeux de Sega sauce acide et vous comprendrez vite le topo ! Pourtant il faut admettre que ce choix musical se marie parfaitement avec l’ambiance surréaliste aux frontières du réel. Les doublages anglais sont superbes et la narration est irréprochable. |
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Comptez environ 10 heures de jeu pour venir à bout de la trame principale. Les 16 niveaux qui la composent se parcourent de manière dirigiste et il n’est pas trop dure de comprendre ce qu’il faut faire entre 2 phases de quick time events. Les boss ont tous un point faible et se laissent appréhender correctement du moment que vous avez compris les timings millimétrés de leurs attaques, malgré que le jeu se destine au hardcoregamers en priorité, la difficulté peut être mise sur débutant permettant à tout à chacun d’apprécier cette œuvre hors normes. Entre chaque niveau un mini-jeu de tir aux pigeons comme dans une fête foraine, vous permet de récupérer des sucettes et des artefacts de vie pour les utiliser en combat ou pour les mixer ensuite entre eux pour créer des breuvages et autres élixirs de sorcière ! Chaque combinaison rajoute des perspectives de survie plus au moins élevées face aux diverses créatures célestes qui cherchent à vous nuire. De plus chaque ennemi abattu laisse derrière lui des anneaux qui pourront ensuite être échangés chez « The Hell Gates » contre des nouvelles aptitudes de combat, des armes et autres artifices proposé par le tenancier démoniaque. Si en plus vous lui remettez des fragments de disque vinyle entier, ce dernier vous apportera des petites surprises fortes utiles. Une fois le jeu terminé une première fois vous recommencerez automatiquement votre partie au début dans un mode plus difficile en conservant votre arsenal ! La classe surtout si vous voulez obtenir tous les bonus disponibles à 100%. |
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Les jeux d’actions ne sont pas réputés pour leur narration exceptionnelle et le titre ne fait pas exception à cette règle. Le but ici étant de se défouler et de massacrer un maximum d’ennemi dans un festival de coups spéciaux et de déluge de feu. Un semblant de scénario se laisse pourtant entrevoir. Bayonetta se réveille après un sommeil vieux de 500 ans et cherche à se souvenir de son passé tumultueux. Sa route sera semée d’ennemis tordus qui cherchent à réaliser une sombre machination de résurrection d’une puissance divine connue sous le nom du créateur. Entre ange et démon, l’aventure vous surprend de long en large par sa mise en scène abracadabrante. |
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Offrant des combats d'anthologie titanesques face à des anges colossaux qui prennent parfois la totalité de l’écran. Bayonetta joue dans la démesure ludique. Un spectacle cinématographique mélangeant les phases d’explorations et d’actions de la plus belle des manières dans un univers léché et créatif. Agréable et jubilatoire sont les critères qui déterminent le mieux notre sorcière au corps et postures de diva. On aurait franchement tort de s’en priver au risque de passer devant un très grand beat’em up ! Attention toutefois à ceux qui se procureront une version PS3, car le titre souffre de défauts de ralentissement et de chutes de frame. |
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> PAROLE DU RÉDACTEUR
La grande classe, Bayonetta se permet de faire la leçon aux ténors du genre, en renvoyant à leur copie les Devil May Cry et autre Ninja Gaiden. Chapeau bas aux artistes de Platinium Games, qui nous gratifient d'une petite pépite comme on n'en avait pas eu depuis longtemps.
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