Tous les 200 ans, lorsque les forces du mal menacent, la déesse Athéna prend forme humaine en se réincarnant dans le corps d’une simple mortelle. Cette dernière n’est autre que Saori Kido, qui fût sauvée par Aiolos, le chevalier d’or du sagittaire, 13 ans auparavant. A cette époque, Saga des gémeaux a pris la place du véritable Grand Pope en le supprimant de ses propres mains. Saga cherche par tous les moyens à prendre le contrôle des 88 chevaliers au service du sanctuaire, pour assouvir son pouvoir de domination de la planète. Aiolos parvint de justesse à empêcher l’assassinat du petit bébé dans lequel l’esprit d’Athéna sommeil paisiblement. Blessé à mort pendant sa fuite par Le chevalier d’or du Capricorne,  il s’échappe néanmoins du sanctuaire. Aiolos mourut en confiant la vie d’Athéna au bon soin de Mistumasa Kido, président de la fondation Graal qui lui porta secours. Aiolos lui demande alors, de la protéger et de trouver et former les chevaliers protecteurs de la déesse et de remettre sont armures au plus vaillant d’entre-eux.

Mitsumasa Kido s’exécuta et trouva dix jeunes gens et les envoya dans des camps d’entraînement, pendant cinq ans à travers toutes la planète.
Les années passes, Seiya, Shiryu, Hyoga, Shun et Ikki, sur les dix chevaliers de bronze, sont les seuls à être parvenu à dépasser leurs statuts de simple faire valoir et ont réussis à vaincre tous les obstacles et adversaires envoyés par le Grand Pope. Mais nos chevaliers ne sont pas au bout de leurs peines car ils leur restent un défi de taille, sauver Saori qui s’est prise une flèche magique en plein cœur. Bien sûr, seul le Grand Pope peut la retirer. Seiya et compagnie doivent parvenir en moins de douze heures, à traverser les douze maisons du zodiaque, chacune gardée par un redoutable chevalier d’or, dont les pouvoirs dépassent l’imagination. Courage chevaliers ! La vie d’Athéna dépend de vous et du joueur qui se cache derrière la manette !

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Graphismes: 6.5/10
Loin de nous en mettre plein les yeux, le moteur du jeu fait pourtant dans le politiquement correct avec des décors colorés et des environnements architecturaux inspirés de la Grèce antique. Il ne faut quand même pas déconner, techniquement le titre et tout juste du niveau des premiers jeux parus sur la PS3 à ces débuts et très loin d’un God of War ! Heureusement les armures et les protagonistes sont fidèles à l’œuvre de Masami Kurumada et au travail de designer du regretté Shingo Araki.

Scénario: 7/10
On va dire que Bandai n’a pas pris de risque et se contente de nous balancer la meilleure partie des tribulations de nos chevaliers de bronze ‘’La bataille du sanctuaire’’. Pourtant la mythologie qui englobe nos héros au cœur vaillant offre une diversité importante, laissant la place à des DLCs ou à une suite éventuelle.

Bande son: 7/10
Adieux, compositions magistrales de Seiji Yokohama ! Place à des musiques remixées, provenant des abysses des jeux parus précédemment sur PlayStation 2 ! Certains thèmes se laissent écouter ma fois ! La B.O heureusement, laisse place aux doubleurs japonais qui donnent de la classe à l’ensemble.

Jouabilité: 6.5/10
Oups ! Il ne faut pas déconner non plus ! Cette dernière inspirée par des titres de la classe de Dynasty Warriors est vachement limitée et laisse peu de place à la créativité du joueur pour balancer des combos dévastateurs. Les combinaisons de touches demandées pour effectuer des attaques Big Bang ou autres, ne sont pas pratiques du tout, et demande de l’entrainement, avant de faire des ‘’Pegasus ryu sei ken’’ et de piétiner en deux un chevalier d’or !

Durée de vie: 7/10
Il faudra bien s’accrocher pour terminer le mode histoire.  Bien que ce dernier se compose de 12 maisons avec autant de boss l’aventure est rallongée artificiellement en prenant des mouvements de libertés en nous ressortant des chevaliers noirs et d’argents entre-deux. Comme si affronter des colosses n’était déjà pas assez difficile à faire ! De plus, des tas de bonus comme des figurines et les modes supplémentaires sont à débloquer, histoire de combler le fan absolu de la série ! Vous pouvez si l’envie vous souhaite jouer à deux certains épisodes inédits.

Violence: 5/10
Saint Seiya s’est du manga, du coup les protagonistes se balancent bien dans la gueule à grands coups d’effets spéciaux ! Un conseil ne faites pas ça chez vous.

Note finale: 7/10
En tant que fan, le fait de se retrouver devant son petit écran en incarnant l’un des chevaliers de bronze et dans découdre avec les sbires du Grand Pope est un trip enthousiasment, mais cela est réservé à ceux qui feront l’effort de surmonter les défauts du jeu.

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Bien que moyen par moment, Saint Seiya se laisse déguster sans modération. Il faut dire que les ingrédients présents dans le scénario sont super accrocheur et les chevaliers du zodiaque possèdent tous un charisme fantastique. Le titre reste acceptable pour les amateurs et fun pour les vieux de la veille qui vibrent au rythme des péripéties de nos chevaliers. Espéreront que pour le prochain titre, s’ils décident d’en faire un,  Dimps et Bandaï corrigent les problèmes de ralentissements et nous adaptent, par exemple la partie Asgard, Poseïdon où Hadès de façon plus intelligente. Si vous êtes fan vous allez vous extasier devant les tas de bonus cachés inclus dans le soft. Un achat a médité avant de trouver la voie du septième sens !